Enquête réalisée le 13/03/2007 auprès de 45 doctorants Lyon 1/INSA en sciences exactes et bio-médicales (40% en chimie, 40% en bio-médical).
On remarque une utilisation généralisée de ScienceDirect, une ressource généraliste pas forcément adaptée à des interrogations fortement disciplinaires. Les 2 bases disciplinaires arrivent ensuite mais en bio-médical, seul Pubmed est utilisée et connue alors que Lyon 1 est abonnée à embase.com. Il y a un manque évident de communication. GoogleScholar est devenu incontournable par le bouche à oreille malgré ses insuffisances bien connues. Scirus plus convaincant n’est pas connu. Viennent ensuite 2 collections de journaux. Les autres bases bibliographiques disponibles sont délaissées : SUDOC, Pascal, Georef, IPA, Inspec …L’archive ouverte HAL n’est pas connue. Ce qui veut dire que les équipes de recherche concernées n'ont pas de politique par rapport aux archives ouvertes !!!
Du travail en perspective !
Si on regroupe les collections de journaux électroniques ( Elsevier, Springer, Wiley), on se rend compte qu’elles sont la 1ère source consultée avant les bases de données disciplinaires. Ici c’est l’accès direct au texte intégral qui est l’argument décisif.
Conclusion
- L’accès direct au texte intégral est privilégié
- Il y a une méconnaissance assez générale des ressources disponibles
- Il y a une nécessité de formation au niveau Master et doctorant
JPL
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