Actualité des Sciences de l'Information.
Le blog du réseau des Urfist migre sur la plateforme HYPOTHESES.
Rendez-vous à l'adresse:
http://urfistinfo.hypotheses.org
Les portails Revues.org et Persée annoncent la mise en place d'une continuité de consultation pour leurs revues communes (une vingtaine de revues dont Persée a numérisé la partie patrimoniale et Revues.org les numéros récents). Actuellement, dix revues déjà proposent un accès transparent à la totalité de leurs numéros : consultation des sommaires quel que soit le portail et sans changer d'interface ; accès au texte intégral sur chacun des portails à partir du titre de l'article. Il est prévu pour 2009 que les moteurs de recherche respectifs des deux sites intègrent la recherche sur le texte intégral des articles du site partenaire. Voir : l'édito de Revues.org / le blog LEO et la rubrique Mutualisation de Persée.
La culture informationnelle devient une thématique de recherche à part entière, dont les manifestations se succèdent et s'enchaînent : congrès, revues, séminaires... Sans oublier évidemment le récent colloque international de l'ERTé à Lille, qui a été un succès et qui a réuni près de 150 personnes ; on trouvera prochainement tous les textes des interventions sur ArchiveSic et les vidéos sur le site de l'ERTé et sur le blog dédié au colloque.
Dans ce processus de construction d'un véritable champ de recherche, inter et multi-disciplinaire, voici un nouvel appel à contributions pour un numéro thématique des Cahiers du Numérique : "Penser la culture informationnelle".
Nous espérons de nombreuses propositions. AS --------------------------------------------------------------
APPEL A ARTICLES
Les
Cahiers du numérique (éd. HermesSciences)
Le numérique fait figure de paradigme
technologique majeur pénétrant toutes les activités humaines et conduit à
repenser aussi bien les systèmes techniques que les systèmes sociaux. L'objectif
premier de la revue « Les Cahiers du numérique », au travers
de ses numéros thématiques, est la mise à disposition d'un corpus précis sur
les fondements techniques et sociaux de ces évolutions.
PENSER LA CULTURE INFORMATIONNELLE
Numéro thématique coordonné par Alexandre Serres
La notion de culture
informationnelle fait l’objet depuis plusieurs années, notamment en France,
d’un nombre croissant de travaux, de publications, de manifestations diverses,
scientifiques et professionnelles. Longtemps assimilée à la « maîtrise de
l’information » (l’information
literacy des anglo-saxons), la culture informationnelle semble aujourd’hui,
pour la plupart de ses acteurs, dépasser le seul cadre des compétences
info-documentaires et comprendrait un ensemble, encore mal défini, de savoirs,
à la fois procéduraux, méthodologiques, déclaratifs, de savoir faire, de
comportements, de connaissances sur l’information et ses objets. Ne se
distinguant pas nettement de la culture numérique d’une part et de la culture
des médias d’autre part, l’expression de culture informationnelle, fondée sur
le terme éminemment problématique de culture (quelle acception de la culture
est en jeu ici ?), n’en finit pas de susciter débats et interrogations,
sur sa définition, ses enjeux, ses contenus et ses territoires.
Ce nouveau numéro des Cahiers du
Numérique entend développer la réflexion collective, menée en France et dans
d’autres pays, autour de cinq axes et des questions suivantes :
Approches, définitions : Quelles sont les différentes conceptions
et définitions de la culture informationnelle ? Quelles articulations
possibles entre la culture informationnelle comme ensemble de pratiques, partagées
par un groupe ou une communauté (par exemple la culture informationnelle des
jeunes, des chercheurs, etc.), et la culture informationnelle comme ensemble de
savoirs et de compétences à construire ou à acquérir ? Quelles différences
et convergences peut-on établir entre la culture informationnelle et la culture
numérique, ou la cyberculture ? La brève histoire de ces deux expressions pourra être ici convoquée pour
éclairer les rapports complexes entre ces deux « cultures ».
Enjeux : A l’heure d’Internet, des réseaux sociaux, de la
« googlisation », quels sont aujourd’hui les principaux enjeux (sociaux,
éducatifs, professionnels, civiques…) du développement et de l’acquisition
d’une culture informationnelle ? Comment penser notamment ces enjeux éducatifs dans
les nouveaux contextes de « l’économie de l’attention », du profilage
marketing, de la traçabilité généralisée et des nouvelles dimensions
socio-politiques de la recherche d’information sur le web ? Enfin, quelles
finalités (éducatives, politiques) assigner à une éducation à
l’information ?
Territoires : Quels domaines thématiques, quels champs
(disciplinaires, scientifiques…) sont concernés ? Quelles relations et frontières peut-on
établir notamment entre les trois cultures, médiatique, informatique et
informationnelle ? La notion américaine de « transliteracy » pourrait être utilement interrogée ici pour
penser les nouvelles compétences et les nouveaux savoirs informationnels, à
l’œuvre dans l’utilisation quotidienne des médias et outils de l’information.
Contenus : Quels contenus, quels savoirs, quelles
compétences englobe la culture informationnelle ? Quelles articulations
scientifiques, épistémologiques, peuvent être établies entre, d’une part les sciences
de l’information et de la communication comme principale discipline de
référence et, d’autre part une culture informationnelle « tous
publics », faisant partie du bagage de tout citoyen du 21ème
siècle ? S'agit-il d'une culture
unique, qui s'internationalise au fur et à mesure que s'étendent les réseaux,
et quelle place serait alors laissée à la diversité culturelle ? Où en
est la didactique de l’information, qui émerge aujourd’hui en France dans
l’enseignement secondaire, quelles questions
pose-t-elle ?
Acteurs : La culture informationnelle concerne et mobilise une
grande diversité de professions et d’acteurs, depuis les médiateurs du livre et
de la culture jusqu’à ceux de l’information, et au premier chef les enseignants
et les formateurs. Dans ce paysage diversifié, quel peut être le rôle spécifique
de ces différents acteurs dans la diffusion d’une culture informationnelle ?
Comment, dans les nouveaux contextes institutionnels, (re-)penser les relations
entre les acteurs directement impliqués dans les formations à l’information,
tant dans l’enseignement secondaire (enseignants-documentalistes et enseignants
des disciplines) que dans l’enseignement supérieur (bibliothécaires,
enseignants-chercheurs, etc.) ?
Les appels à contributions se suivent et s'accumulent, ce qui témoigne d'une activité scientifique débordante dans le champ des Sciences de l'information et de la communication. Voici donc un nouvel appel à articles, diffusé sur ce blog avec un peu de retard (mais les semaines de cette rentrée passent très vite !). Il s'agit du nouveau numéro des Cahiers du Numérique
Attention : le délai de remise des propositions est le 26 octobre (cf les modalités pratiques)
Enjeux actuels de la communication scientifique
Numéro thématique
coordonné par Joachim Schöpfel
La communication scientifique
évolue au rythme des nouvelles technologies de l’information et de la communication, du marché de
l’information scientifique et des politiques de recherche nationales et
internationales. Son développement reflète les besoins des différentes
communautés scientifiques, notamment dans les domaines émergents ; en même
temps, elle façonne à sa manière le fonctionnement et la cohésion de ces
communautés.
Depuis l’invention de la revue
scientifique par Henry Oldenburg et Marin Mersenne au 17e siècle, la
principale fonction de la communication scientifique a été l’enregistrement
d’une découverte ou idée pour protéger la propriété intellectuelle de son
auteur, puis la diffusion, l’évaluation par les pairs et l’archivage des
résultats de la recherche. Pendant trois siècles, la revue est restée le
vecteur central de la communication scientifique, avec une évolution formidable
à l’image de l’accélération de la recherche fondamentale et appliquée.
En parallèle et plus en marge, le
développement d’autres formes de l’information scientifique : livres,
bases de données, rapports, actes de colloques, thèses et mémoires etc.
Depuis plus de dix ans,
technologies, marché et politiques bouleversent l’évolution de la communication
scientifique. Revues électroniques et e-books font partie du quotidien des
chercheurs, l’accès aux ressources numériques s’organise à travers les portails
des différents organismes et établissements, et Internet impacte d’une manière
significative les circuits de dissémination et circulation de la littérature
grise.
Favorisés par la technologie,
poussés par les besoins d’investissement lourd, attirés par un marché en forte
expansion avec des gains considérables, des véritables empires de l’édition
scientifique se sont formés par le jeu des fusions et rachats avec le risque de
freiner l’innovation et la diffusion des savoirs et de maintenir des prix
(trop) élevés.
Mais la communication
scientifique est également tributaire des politiques : modes de pilotage,
de financement et d’évaluation, choix des domaines prioritaires, modification
des structures et fonctionnement des organismes, investissement dans la
production, l’acquisition et diffusion de l’information et des résultats de la
recherche, tout cela a un impact direct et immédiat sur les modes de
communication scientifique.
L'objectif de ce numéro est de
faire le point sur quelques enjeux majeurs de la communication scientifique
dans l’environnement numérique. Dégager les questions centrales dans le
contexte esquissé, rendre intelligibles les enjeux sans réduire leur
complexité, présenter les forces sous-jacentes, ouvrir des espaces
d’action : voilà le programme. Quelques suggestions :
Communication scientifique et évaluation des chercheurs, laboratoires, revues.
Les nouveaux modèles économiques de l’édition scientifique.
Le bouleversement des bibliothèques et métiers de l’information.
L’impact des archives ouvertes sur la diffusion et la valorisation de la production scientifique.
Liens entre communauté et communication scientifique
(besoins, outils, usages).
L’évolution des contenus et services dans les revues scientifiques.
Comparaison entre outils collaboratifs du Web2.0 et moteurs de recherche algorithmiques par rapport à la découverte de l’information scientifique.
Nouvelles formes de communication scientifique et propriété intellectuelle.
L’analyse empirique de l’usage des ressources en ligne par les chercheurs.
Culture d’information et communication scientifique.
La place de la communication scientifique dans les nouveaux systèmes d’information de recherche (CRIS).
Communication scientifique, EScience, cyberinfrastructure.
Le GRELQ (Groupe de recherche sur l'édition littéraire au Québec) lance une nouvelle revue électronique : Mémoires du Livre. Revue internationale, sous la direction de Marie-Pier Luneau et Josée Vincent (professeurs à l'Université de Sherbrooke et
directrices du GRELQ). Le premier numéro sera consacré à un état des lieux rétrospectif et prospectif de la publication électronique en Sciences Humaines et Sociales.
Vous trouverez sur le site de l'Université de Sherbrooke des informations sur le GRELQ, sur la revue Mémoires du livre , ainsi que l'appel à contribution pour le numéro thématique sur la publication électronique en SHS. Ce numéro est co-dirigé par Karine Vachon (Université de Sherbrooke) et Björn-Olav Dozo (Université de Liège)
Les propositions d'articles sont à envoyer au plus tard pour le 30 septembre 2008, les articles pour le 1er janvier 2009, et la version définitive à établir après avis du comité de lecture pour le 1er mars 2008.
Merci aux sites Fabula et Liens Socio, sur lesquels cette info a été repérée.
La revue Les Cahiers du Numérique
(http://lcn.e-revues.com), prépare un dossier sur la fracture numérique :
"Penser la fracture numérique" , Numéro thématique coordonné par Alain KIYINDOU .
Extrait de l'appel à contributions :
"La notion de « fracture numérique » placée au centre des stratégies de «
e-inclusion » est à la fois complexe et controversée. L’ «
e-inclusion » telle qu’elle nous est proposée consisterait à
établir des passerelles (digital bridges) qui relieraient les
différents territoires avec l’idée de développer un monde uni, dans
lequel toutes les contrées seraient connectées par des autoroutes (de
l’information) à haut débit. Cette « réconciliation de la grande famille
humaine », nous ramène à la pensée de Marshall Mac Luhan souvent
contredite par le fait que la société est un ensemble multiforme qui ne
peut être réduite au simple fait technologique.
L'objectif de ce numéro est de mettre en débat la notion de « fracture
numérique », de questionner les enjeux techniques, politiques,
économiques, sociaux et culturels liés et d'envisager quelques pistes
afin de mettre en œuvre de réelles solidarités entre les femmes et les
hommes, les jeunes et les moins jeunes, les pauvres et les nantis, les
alphabètes et les autres… Elle renvoie incontestablement à
l’accessibilité, à l’égalité des genres, au contrôle des réseaux, à la
présence des contenus différenciés et à leur visibilité dans le
cyberespace…
L’étude de la fracture peut, ainsi, s’appuyer sur un certain nombre
d’indicateurs dont les contenus, les capacités et la connectivité. Elle
concerne les disparités dans l’accès, l’usage et la maîtrise des
technologies de l’information et de la communication et pourrait
s’appuyer sur l’Internet, la téléphonie mobile, le GPS, la télévision
numérique…"
Pour lire le texte complet de l'appel à contributions et connaitre les modalités pratiques, voir le fichier PDF ci-joint : Téléchargement appel4.pdf
Envoi des propositions d’articles (6000 caractères, espace non
compris, plan et références bibliographiques non compris) : avant le 20 juillet.
Toujours aussi riche, cette newsletter mensuelle est décidément la “Bible » de l’OA. Voici quelques points retenus de cette livraison du mois de mai (n°121) dans laquelle Peter Suber
annonce l’ouverture avec Robin Peek de l’Open Access Directory
(OAD) dont le but est de rassembler et de permettre la mise à jour
collective des informations sur le libre accès. Il se base sur du
matériel de veille et des listes d’informations factuelles rassemblés
par Peter Suber depuis plusieurs années.
liste un (grand) nombre de questions à résoudre
à propos du libre-accès (à propos de l’accès, les modèles économiques
des revues et des ouvrages, les logiciels, les attitudes et pratiques
des chercheurs, les universités, les agences de financement). Cette
liste est déposée parmi d’autres (et notamment une liste des recherches
en cours) sur l’OAD.
liste les récentes politiques d’obligation de dépôt en libre accès adoptées par des institutions
liste quelques récentes décisions prises par des éditeurs
scientifiques qui indiquent que ceux-ci sont en train d’intégrer une
autre manière de voir et de gérer la propriété intellectuelle des
articles scientifiques (Rockefeller University Press, BioOne, Taylor
& Francis).
montre que le projet SCOAP3 continue sa progression.
donne des informations sur de nouvelles archives (comme Hprints, the Nordic arts and humanities e-print archive, hébergée sur HAL, et qui a été officiellement ouverte en avril dernier).
Un nouveau concept vient d'apparaître,
à ajouter au florilège des nombreuses « literacies »
: la transliteracy. Il est expliqué en détail
dans un texte collectif important, écrit par plusieurs
chercheurs américains et britanniques, publié dans le
volume 12 de First Monday, du 3 décembre dernier :
« Transliteracy:
Crossing divides », écrit par Sue
Thomas, Chris Joseph, Jess Laccetti, Bruce Mason, Simon Mills, Simon
Perril, et Kate Pullinger.
Retenons seulement ici la définition
de cette sorte de "super-literacy", grâce à la traduction
française sur le blog Relief
de François Guité : « Les auteurs définissent
la translittératie comme « l’habileté à
lire, écrire et interagir par le biais d’une variété
de plateformes, d’outils et de moyens de communication, de
l’iconographie à l’oralité en passant par
l’écriture manuscrite, l’édition, la télé,
la radio et le cinéma, jusqu’aux réseaux sociaux ». »
En tout cas, quoi qu'on en pense, un texte à lire absolument par
tous les acteurs français de la « maîtrise de
l'information » ! Et une critique à lire également
sur le blog de l'ami Olivier
(des Egarés, pas d'Affordance...).
Pour ma part, j'attirerai juste l'attention sur une dimension particulière de ce texte. Le concept, comme le collectif
d'auteurs, est issu d'un projet plus important, né en 2005, le
Transliteracies
Project, projet développé à l'Université
de Californie de Santa Barbara et regroupant des chercheurs de
plusieurs horizons : informatique, sociologie, histoire, sciences
exactes, histoire de l'art... Une sorte de nouvelle « Conférence
Macy » multi et inter-disciplinaire (rappelons que les
Conférences Macy ont été le berceau de la
cybernétique dans les années 40-50 et rassemblaient
toute la crème de la science américaine, toutes
disciplines confondues : Bateson, Wiener, von Neumann, et bien
d'autres). Ce type de projet multi-disciplinaire a
de quoi laisser rêveur en France, où les
sous-disciplines se parlent déjà à peine entre
elles et où les disciplines s'ignorent en général
souverainement. Quant à la coupure entre sciences exactes,
sciences humaines et sciences de l'ingénieur, elle semble parfois tellement profonde qu'on en voit mal le dépassement.
Et si la « translittératie »,
terme auquel j'ai la faiblesse de préférer celui de
« culture informationnelle », qui me semble
plus explicite en français, était l'occasion de tisser
des liens entre mondes différents ? Il faudrait déjà
commencer par ces trois « literacies », qui
restent encore trop souvent séparées : la computer,
la media et l'information literacy. Autrement dit, les
informaticiens (ou plutôt les enseignants en informatique !),
les sociologues des médias et les spécialistes de
l'éducation aux médias, et les
bibliothécaires-documentalistes, formateurs de la « maîtrise
de l'information ». En bref, EATIC (éducation aux
TIC) + EAM (éducation aux médias) + EAI (éducation
à l'information) = EACI (éducation à la culture
informationnelle), variante française de la transliteracy...!
(puisqu'on aime les sigles en France, ne nous privons pas !). Il faudra revenir (plus sérieusement !) sur ces questions.
C'est le titre de la dernière livraison des Dossiers de l'Ingénierie éducative, la revue du CNDP ; une nouvelle contribution très riche, qui intéressera également tous les acteurs de la maîtrise de l'information dans le supérieur.
Extraits de la présentation : "Alors qu'Internet se banalise, son intégration dans l'enseignement suscite parfois des craintes, de nature opposée : – les uns redoutent les blogs et les comportements addictifs des élèves ; ils souhaitent jouer la carte de la protection ; – les
autres craignent que la dimension éducative du Net soit confiée au
périscolaire ; ils parlent plutôt apprentissage critique, imprégnation
de la culture web, formation. Considérant
que l'éducation du citoyen internaute ne se réduit pas à l'éducation à
Internet et que ce dernier peut être un levain de démocratie dans
l'école et dans la société, Les Dossiers... se proposent de donner
quelques outils aux enseignants : – pour
entrer aussi bien dans le B2i que dans le Web 2.0, pour maîtriser
l'espace à la fois public et privé du en-ligne, pour s'initier aux
pratiques collaboratives ; – pour aider
les élèves à connaître leurs droits et devoirs concernant la copie, les
droits d'auteurs, les droits sur les images, à distinguer la nétiquette
de la loi, à conquérir leur cybercitoyenneté ; – pour ancrer ces questions dans les disciplines et les activités transversales."
Une fois n'est pas coutume... petite pub pour un roman "historique qui emprunte les chemins de l’intrigue policière.
Un voyage érudit dans le clair-obscur des bibliothèques. Agatha Christie au pays de J. L. Borges."
LA TABLE DES MATIÈRES Auteur : Sylvie Fayet-Scribe - maître de conférences en histoire et sciences de l’information à la Sorbonne.
Lu sur la liste RTP-DOC (merci à Roger) : La plupart des textes de l'ouvrage : Open Access: Key Strategic, Technical and Economic Aspects Jacobs, N., (Ed.) (Chandos Publishing: Oxford), 17 July 2006.... sont disponibles ici . GG